« Celui qui hait les cadeaux vivra » (Michlé 15,27)

-> Si un homme travaille ses midot jusqu’à haïr les présents, a fortiori il haïra le vol.
[Rachi – Michlé 15,27]

-> La guémara (Sota 47b) enseigne :
« Depuis que se sont multipliés les « preneurs », ceux qui acceptent facilement des dons, la durée de vie moyenne de la population a diminué, car ceux qui haïssent les dons vivront (plus longtemps) et ce qui chérissent les dons vivront moins longtemps. »

-> Le Rambam (Halakhot Zékhia) explique :
Les tsadikim et les hommes de mérite n’acceptent pas de dons d’autrui, car ils mettent toute leur confiance en Hachem et non pas aux généreux donateurs.
Ainsi, ils s’attacheront davantage au Créateur et « vivront », au sens noble du terme, dans ce monde-ci et dans le monde à venir.

Le Maguid Michné donne la raison qui a motivé le Rambam :
L’homme doit se satisfaire de ce qu’Hachem lui donne et ne doit pas rechercher de dons chez autrui pour des besoins superflus.
Donc le Rambam demanderait de haïr les dons pour le superflu et non pas pour le strict nécessaire.

-> Selon le rav Dessler (Mikhtav méEliyahou – tome1,p.32) :
Lorsque Hachem a créé l’homme, il lui a confié 2 tendances : celle de prendre et celle de donner.
Dans tout acte, toute parole et même toute pensée, soit l’homme se dévoue et donne, soit il attire à soi tout ce qui est à sa portée et prend.
Or, Hachem a créé l’homme à Son image, et Il est le Donneur par excellence car il n’y a en Lui aucun manque.
Donc le verset : « Quiconque hait les cadeaux vivra », nous invite à être un donneur et non un preneur, afin d’imiter le Créateur donc l’attribut essentiel est de donner.

« Le feu du Géhinam n’a aucun pouvoir sur les disciples des sages (talmidé ‘hakhamim).« 

[rabbi El’azar – guémara ‘Haguiga 27a]

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=> Pourquoi le talmid ‘hakham entre-t-il dans le Guéhinam?

-> Il est évident qu’un sage qui n’aurait pas commis de transgressions n’entre pas au Guéhinam.
Cependant, ceux qui ont commis quelques transgressions dans ce monde-ci entrent au Guéhinam.
Le feu du Guéhinam les « nettoie » de toute « saleté » ou impureté, restée collée à eux dans ce monde-ci à cause de certains désirs corporels ou matériels, et ils seront protégés de toute brûlure.
[Anaf Yossef]

-> Les Talmidé ‘Hakhamim seront jugés dans le Guéhinam un court instant, le temps d’être purifié des quelques transgressions commises de leur vivant ; puis Avraham viendra les sortir du Guéhinam.
Ainsi, ils sont en contact avec le feu du Guéhinam, mais ils en sortiront indemnes, car ils en sortiront rapidement.
[Torat ‘Haïm – dans la guémara Erouvin 19a]

-> Le feu de la Torah étudiée par un talmid ‘hakham a le même effet purificateur, dans ce monde-ci, que le feu du Guéhinam dans le monde à venir.
Le talmid ‘hakham, qui est déjà purifié dans ce monde-ci, n’a donc pas à séjourner dans le Guéhinam.
Mais si sa purification est insuffisante dans ce monde-ci, son court séjour dans le Guéhinam complétera sa purification.
[rabbi Tsadok haCohen – Divré Sofrim (p.20)]

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=> Pourquoi le corps du talmid ‘hakham est-il comme du feu?

-> « Ma parole ne ressemble-t-elle pas au feu? dit Hachem » (Yirmiyahou 23,29).
Les paroles de Torah sont considérés comme du feu.

=> D’où apprend-t-on alors que le corps du talmid hakham est comme du feu?

Le Maharcha répond :
Du fait que ces paroles de Torah, comparées au feu, ont pénétré dans le corps de l’étudiant en Torah, son corps devient comme du feu.

De même, dans la guémara (Taanit 4a), Rabbi a interprété ainsi le verset de Yirmiyahou (23,29) : si un talmid ‘hakham « bouillonne », c’est le feu de la Torah qu’il a étudiée qui a provoqué cette chaleur « spirituelle » et ce zèle qui l’anime.

-> Le Ben Ich ‘Haï enseigne :
Tout discours de Torah, qu’un homme prononce par sa bouche, sort de son corps. Ainsi, la parole, la voix et l’haleine, associés aux paroles de Torah prononcées, sont désignées son corps.
Puisque dans le verset de Yirmiyahou (23,29), la parole de Torah est désigné : feu (éch), le corps de l’homme, au sens que l’on vient de définir, a donc le statut de « feu ».

A chaque fois qu’une personne est capable de dominer son yétser ara et de faire le bon choix, alors elle amène de la gloire à Hachem.

[Zohar – paracha Térouma]

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-> La guémara (‘Houlin 91a) dit que lorsque Yaakov se battait contre l’ange, la poussière de leur bataille s’élevait jusqu’au Trône Divin.
Certains commentateurs expliquent que Yaakov se battait contre son yétser ara, et l’odeur agréable de cette lutte s’élevait vers Hachem et Lui amenait de la satisfaction.

=> Lorsque l’on se bat contre notre yétser ara, il faut se focaliser sur le positif : nous renforçons la gloire de D. dans ce monde, et chaque miette d’effort que nous faisons s’élève jusqu’à Hachem et Lui apporte une satisfaction énorme, …

Certes c’est fatiguant de lutter contre notre yétser ara, mais plus on y mettra d’efforts, plus cela sera apprécié par D. et grandira encore davantage Son Nom!

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-> b’h, également : http://todahm.com/2020/09/21/15139

Tout celui qui ment est considéré comme ayant jeté un Séfer Torah au sol.

[Tikouné Zohar – tikoun 22,p.68]

Il y a 3 fautes devant lesquelles le « rideau » [séparant ce monde de la Présence Divine] ne fait pas obstacle [et qui montent tout droit devant Hachem pour accuser l’homme].
[Il s’agit de] : causer du tort à son prochain, voler, et vouer un culte aux idoles.

[Rabbi Abahou – guémara Baba Métsia 59a]

A chaque fois qu’une punition doit s’abattre sur un juif, la Présence d’Hachem qui est en bas se place devant la punition pour la recevoir à sa place.
L’homme qui se trouve alors derrière la Présence Divine ne reçoit qu’un léger éclat, ou un échantillon de la punition qu’il aurait dû réellement recevoir.
C’est ainsi qu’agirait une mère pour son fils, et c’est ainsi qu’Hachem agit pour nous par cette Présence
(chékhina) qu’Il a laissée en bas.

[Zohar – sur méguilat Eikha]

Rabbi Yo’hanan : Assurer la subsistance de l’homme est 2 fois plus difficile que d’enfanter …

Assurer la subsistance de l’homme est plus difficile que d’opérer sa délivrance (guéoula) …

Rav Chizvi a dit au nom de rabbi El’azar ben Azaria : Assurer la nourriture de l’homme est aussi difficile que de séparer les eaux de la Mer Rouge.

[guémara Pessa’him 118a]

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=> Pourquoi : Assurer la subsistance de l’homme est-il 2 fois plus difficile que d’enfanter?

-> Lorsque la femme souffre lors de son accouchement, ses douleurs sont temporaires et compensées par la joie d’avoir un nouvel enfant.
Par contre, la peine que se donne un homme pour la recherche de ses besoins matériels (parnassa) est permanente et les soucis de parnassa l’empêchent d’être dans la joie.
C’est pourquoi la recherche de la subsistance est plus difficile que l’enfantement.
[Ets Yossef]

-> Le terme : « 2 fois (double) » ne se rapporte pas à l’intensité de la peine, car les souffrances de l’enfantement et de la recherche de la subsistance ne sont pas comparables, mais se rapporte au nombre de personnes concernées par cette souffrance.
En effet, lors de l’enfantement, seule la femme (une seule personne) souffre ; mais dans la difficulté de l’obtention de la nourriture, tous 2 ressentiront la souffrance de la faim ou les manques de parnassa.
[Ben Ich ‘Haï]

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« C’est avec grande peine que tu tireras ta nourriture » (Béréchit 3,17)
=> Pourquoi le châtiment d’Adam est-il supérieur à celui de ‘Hava (enfanter dans la douleur), alors que tous deux ont commis la même transgression?

-> Hachem a fait preuve de plus de sévérité avec Adam parce que la source de la transgression d’Adam a été l’insatisfaction, ce qui constitue un grave défaut.
En effet, Adam n’a pas su se contenter de la profusion et du grand choix de nourriture mis à sa disposition au Gan Eden par Hachem : « Tous les arbres du Jardin, tu peux t’en mourir » (Béréchit 2,16), et il a ressenti le besoin de manger le seul fruit qui lui était interdit!
Sa sanction a été évaluée mesure pour mesure : même lorsqu’il se nourrira du fruit de ses efforts, il sera préoccupé par ses besoins du lendemain, et ainsi il risquera d’être insatisfait durant toute sa vie.
[Ein Israël]

-> Selon le Ets Yossef, c’est parce Adam a reçu d’Hachem Lui-même l’ordre de ne pas manger de l’Arbre de la Connaissance, et également parce qu’Hachem a doté Adam d’une connaissance (daat) et d’une sagesse supérieures à celles de ‘Hava.
Hachem a donc, pour ces 2 raisons, été plus sévère envers l’homme.

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=> Pourquoi : Assurer la subsistance de l’homme est plus difficile que d’opérer sa délivrance (guéoula) ?

-> La guémara (Taanit 2b) affirme que seul Hachem tient les clés de la subsistance (parnassa), et ne les transmet pas dans les mains d’un émissaire.
Par contre, pour la guéoula (délivrance de tout mal ou de tout danger), c’est un ange qui assurera cette délivrance, selon la bénédiction adressée par Yaakov à ses petits-enfants Ménaché et Efraïm, fils de Yossef : « Que l’ange qui m’a délivré de tout mal, bénisse ces enfants » (Béréchit 48,16).

Non seulement la guéoula d’un particulier, mais également la délivrance collective du peuple d’Israël, est assurée par un ange, comme il est dit : « Dans toutes les souffrances, Il a souffert avec eux et un ange les a sauvés » (Yéchayahou 63,9).
=> Ainsi, la subsistance, qui ne dépend que d’Hachem, est plus difficile à obtenir que la guéoula qui dépend d’un ange (un envoyé : chalia’h).
[Maharcha]

-> Le fait que la subsistance est plus difficile que la délivrance (guéoula), il ne s’agit pas ici de la difficulté dans les efforts de l’homme pour obtenir sa subsistance (parnassa), mais de la « difficulté » du Ciel à la lui fournir.
En effet, depuis qu’Adam a reçu une malédiction au sujet de sa subsistance pour avoir consommé un aliment interdit, l’obtention de sa parnassa est sortie du cadre naturel et est devenue un miracle quotidien.
C’est en cela que sa subsistance, régie par le Ciel, est plus difficile que la guéoula.
[Rachbam]

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-> 4 clés sont entre les Mains d’Hachem, qu’Il ne confie à aucun émissaire, pas même à un ange : la clef qui commande les naissances (‘haya – accouchement), la clef qui commande les pluies (guéchamim), la clef qui commande la résurrection des mots (té’hiat hamétim) et enfin la clef de la subsistance (parnassa).
C’est pourquoi la parnassa n’est pas transmise par l’intermédiaire d’un Ange, contrairement à la guéoula.
[d’après la guémara Taanit 2a et 2b]

On peut noter que la clef se dit en hébreu : maftéa’h (מפתח), et ce mot est composé des 4 lettres initiales des mots : matar (pluies – מתר), parnassa (moyen de subsistance – פרנסה), té’hiat (résurrection – תחית) et ‘haya (‘haya – donner la vie – חיה).

-> Du fait que les anges ne sont pas soumis à la domination d’autrui, ils ont le pouvoir de libérer l’homme de la tutelle d’autrui ou d’une situation où il est bloqué, donc d’opérer la guéoula.
Cependant, du fait que les anges ont besoin aussi d’une « parnassa » pour eux-même, la parnassa de l’homme ne peut pas passer par eux.
[Maharal – Nétivot Olam – Avoda chap.18]

-> Si la parnassa de l’homme passait par l’intermédiaire d’un ange, ce dernier n’aurait jamais été indulgent envers les réchaïm et aurait pu retenir leur subsistance.
Par contre, Hachem, dans Sa bonté, nourrit toute créature vivante, les bons comme les mauvais.
[Rif – dans Ein Yaakov]

-> On peut noter que « Donner la vie » : c’est Hachem qui accorde Lui-même à la femme la conception de l’enfant, puis Il confie à un Ange l’évolution de la grossesse de cette femme jusqu’à l’accouchement.
[Tossefot haRoch – guémara Nida 16b]

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-> Rabbi ‘Haïm Chmoulévitch (Si’hot Moussar – si’ha 69) enseigne :
Certains de nos Sages pensent que tout homme, même animé d’une grande confiance [en Hachem] (bita’hon), doit fournir des efforts (hichtadlout) pour obtenir sa subsistance (parnassa), suite à la malédiction prononcée contre Adam et ses descendants après la faute originelle : « C’est à la sueur de ton front que tu mangeras du pain » (Béréchit 3,19).

Les efforts à fournir sont inversement proportionnels à notre niveau de confiance [en Hachem] et ne signifient pas pour autant que c’est cet effort qui est à l’origine de notre subsistance ; celle-ci est donc indépendante de nos efforts, puisque Hachem détient seul la clef de la subsistance (parnassa).

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=> Pourquoi : Assurer la nourriture de l’homme est aussi difficile que de séparer les eaux de la Mer Rouge?

-> De même que le changement miraculeux de nature, qui s’est opéré lors de la division de la Mer Rouge, dépendait de la confiance (émouna) du peuple d’Israël, l’obtention des moyens de subsistance d’un homme dépend de sa émouna.
Plus l’homme est convaincu que c’est Hachem qui assure sa nourriture, plus il conférera à Hachem le pouvoir d’augmenter sa parnassa.
[rabbi ‘Haïm Chmoulévitch – Si’hot Moussar (si’ha 64)]

-> Lors de la création de la Mer Rouge, Hachem avait fait avec elle une condition, celle de s’ouvrir devant les Bné Israël à la sortie d’Egypte. Pourquoi ne s’est-elle pas ouverte immédiatement?

C’est parce que Hachem désirait entendre la prière de Ses enfants.
De même pour la parnassa, bien qu’elle soit fixée pour chacun à Roch Hachana pour l’année à venir, Hachem désire entendre la prière de Ses enfants qui Lui demandent leur parnassa.
[Assara léMéa]

-> A la sortie d’Egypte, la Mer Rouge s’est ouverte pour sauver les Bné Israël et a englouti les égyptiens ; ainsi la même action était un bienfait pour Israël et un mal pour les égyptiens.
De même pour la parnassa, Hachem élève l’un et rabaisse l’autre financièrement, corrélativement, d’après le verset de Téhilim (75,8) : « C’est D. qui est l’arbitre: il abaisse l’un, il élève l’autre ».
[Ein Eliyahou]

-> C’est Hachem qui a ressenti la même « difficulté » (si l’on peut dire) pour la parnassa et l’ouverture de la mer Rouge.
En effet, le Prince (sar) de la Mer Rouge a mis Hachem « dans la difficulté » (si l’on peut dire) en portant cette accusation : pourquoi la Mer Rouge s’ouvrirait-elle devant les Bné Israël et se refermerait-elle sur les égyptiens, alors que ces 2 peuple sont au même bas niveau à cet instant?

De même Hachem, qui a prévu dans Son plan de nourrir toute créature, tsadik ou racha, doit faire face à la même « difficulté » sur le plan de la Justice pour ouvrir « Sa Main » afin de nourrir ensemble les tsadikim et les réchaïm.
[Rif – dans le Ein Yaakov)

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-> b’h, également sur ce sujet :
http://todahm.com/2019/07/08/9701
http://todahm.com/2019/02/14/8369

« Si un homme a eu l’intention d’accomplir un commandement (mitsva), mais a eu un empêchement, Hachem le lui compte comme s’il avait accompli cette « mitsva ».
Par contre, Hachem n’assimile pas une mauvaise intention à une mauvaise action. »

[rav Assi – guémara Kidouchin 40a]

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-> Lorsqu’un homme est animé d’une bonne intention pour accomplir une mitsva ou une bonne action, son niveau spirituel augmente.
Si un cas de force majeure l’empêche de réaliser cette mitsva ou cette bonne action, le surplus d’énergie spirituelle développé par sa bonne intention l’aidera à mieux accomplir une autre mitsva qui se présentera à lui, et ainsi sa bonne intention initiale n’est pas perdue.

C’est pourquoi, il est recommandé d’avoir toujours de bonnes intentions, même si elles ne sont pas réalisables dans l’immédiat.
[rav Dessler – Mikhtav méEliyahou – tome.5,p.290-291]

-> Si un homme avait une bonne intention (kavana tova) qu’il n’a pas pu réaliser à cet instant par empêchement, et si plus tard il réalise cette mitsva, mais sans bonne intention (par exemple : mécaniquement ou de façon intéressée), Hachem associera la bonne intention première avec cette action de façon à obtenir une mitsva entière sans défaut.

En effet, toute bonne action créé un Ange défenseur : la bonne intention crée l’âme de cet Ange, et l’action (même de façon intéressée) créé le corps de l’Ange.
Ainsi, du fait qu’Hachem a associé la bonne intention initiale et l’action finale, un Ange défenseur (âme + corps) est créé en faveur de cet homme.
[Hamakné]

Quiconque se consacre uniquement à la Torah, sans pratiquer des actions de bonté (guémilout ‘hassadim), est semblable à un homme sans D.

[rav Houna – guémara Avoda Zara 17b]

« Mieux vaut aller dans une maison de deuil que d’aller dans une maison de festin (de mariage) » (Kohélet 7,2)

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-> « Marche humblement avec ton D. » (Mi’ha 6,8)
Les 2 exemples d’obsèques et de mariage ont été choisis car ces 2 événements amènent tous 2 l’homme qui y participe à se rappeler le jour de sa mort inéluctable [ce qui fait disparaître une bonne partie de notre imaginaire, basée sur l’idée que nous sommes éternellement dans ce monde!] :
En effet :
– lorsqu’on assiste aux obsèques de son prochain, cela est évident!
– et même lorsqu’on assiste à un mariage, car si la mort n’existait pas, l’homme n’aurait pas épousé une femme pour avoir des enfants qui renouvellent les générations et n’aurait pas fait tous les efforts que la vie matrimoniale exige.
[Ben Ich ‘Haï]

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-> On nous demande au moment de quitter un cimetière de ne pas reprendre exactement le même chemin, mais plutôt un chemin différent de l’aller.
Bien entendu! Comment une personne censée peut-elle aller au cimetière et revenir la même!
[rav Yossef Kahaneman – le rav de Ponovitch]

[la vision concrète que la vie est courte, et que personne ne peut y échapper (même la plus riche, même la plus forte, même la plus connue, …), doit nous réveiller de notre mort spirituelle dans laquelle nous plonge notre yétser ara. ]